voici mon article sur lycéens au cinéma, faites moi part de vos commentaires
Tous les ans, des centaines de lycéens, à travers le France, participent au projet « lycéens au cinéma ». Le principe est des plus simple : durant l’année scolaire, trois séances de cinéma sont organisées, et permettent ainsi aux élèves de découvrir des chef d’œuvres du cinéma international (« Certains l’aiment chaud », « Tout sur ma mère »…). Au sein de notre établissement, cette opération est possible grâce au lycée qui finance la deuxième séance et au FSE qui lui prend en charge le troisième (des cours métrages). La première séance a eut lieu la semaine du 8 décembre.
« Certains l’aiment chaud » raconte l’histoire de deux amis musiciens de jazz (joués par Tony Curtis et Jack Lemmon) en 1929 à Chicago. Les deux compagnons sont témoins d’un meurtre entre gangsters. Pour échapper aux criminels, nos deux héros se déguisent en femmes et entrent dans un orchestre exclusivement féminin en route pour la Floride. Ce film est l’un des films les plus célèbres du cinéma. Nommé six fois aux Oscars, c’est un succès mondial. Le film est très rythmé, parsemé de quiproquos, de répliques cultes. Il traite dans le même temps de la confusion d’identité sexuelle, sans perdre sa puissance comédie. Le réalisateur réussit très brillamment à faire basculer ses personnages d’un genre à l’autre.
Ce film n’est pas l’un des premiers films de Billy Wilder (coscénariste et réalisateur) ; Né en Pologne en 1906 et mort en 2002, Billy Wilder commence une carrière de journaliste à Vienne puis à Berlin. Il se tourne vers le cinéma à la fin des années 20, en tant que scénariste. A l’arrivée des Nazis au pouvoir en 1933, il se réfugie en France où il coréalise son premier film « Mauvaise graine » (1934). Emigré à Hollywood, il devient scénariste auprès d’ Ernest Lubitsch et Howard Hawks. En 1942, il passe derrière la caméra avec « Uniforme et jupons courts » ? Durant sa carrière, Billy Wilder a réalisé 25 films à Hollywood, dont une majorité de comédies et quelques fils noirs comme « Assurance pour la mort » (1944) ou « Boulevard du crépuscule » (1950). Ses films reflètent une personnalité que beaucoup on qualifié de cynique, ou d’insolente, cherchant à faire tomber les normes du « bon goût » hollywoodien. « Embrasse moi, idiot » (1964) et « Buddy Buddy » (1981) sont deux derniers triomphes.
Tous les ans, des centaines de lycéens, à travers le France, participent au projet « lycéens au cinéma ». Le principe est des plus simple : durant l’année scolaire, trois séances de cinéma sont organisées, et permettent ainsi aux élèves de découvrir des chef d’œuvres du cinéma international (« Certains l’aiment chaud », « Tout sur ma mère »…). Au sein de notre établissement, cette opération est possible grâce au lycée qui finance la deuxième séance et au FSE qui lui prend en charge le troisième (des cours métrages). La première séance a eut lieu la semaine du 8 décembre.
« Certains l’aiment chaud » raconte l’histoire de deux amis musiciens de jazz (joués par Tony Curtis et Jack Lemmon) en 1929 à Chicago. Les deux compagnons sont témoins d’un meurtre entre gangsters. Pour échapper aux criminels, nos deux héros se déguisent en femmes et entrent dans un orchestre exclusivement féminin en route pour la Floride. Ce film est l’un des films les plus célèbres du cinéma. Nommé six fois aux Oscars, c’est un succès mondial. Le film est très rythmé, parsemé de quiproquos, de répliques cultes. Il traite dans le même temps de la confusion d’identité sexuelle, sans perdre sa puissance comédie. Le réalisateur réussit très brillamment à faire basculer ses personnages d’un genre à l’autre.
Ce film n’est pas l’un des premiers films de Billy Wilder (coscénariste et réalisateur) ; Né en Pologne en 1906 et mort en 2002, Billy Wilder commence une carrière de journaliste à Vienne puis à Berlin. Il se tourne vers le cinéma à la fin des années 20, en tant que scénariste. A l’arrivée des Nazis au pouvoir en 1933, il se réfugie en France où il coréalise son premier film « Mauvaise graine » (1934). Emigré à Hollywood, il devient scénariste auprès d’ Ernest Lubitsch et Howard Hawks. En 1942, il passe derrière la caméra avec « Uniforme et jupons courts » ? Durant sa carrière, Billy Wilder a réalisé 25 films à Hollywood, dont une majorité de comédies et quelques fils noirs comme « Assurance pour la mort » (1944) ou « Boulevard du crépuscule » (1950). Ses films reflètent une personnalité que beaucoup on qualifié de cynique, ou d’insolente, cherchant à faire tomber les normes du « bon goût » hollywoodien. « Embrasse moi, idiot » (1964) et « Buddy Buddy » (1981) sont deux derniers triomphes.